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Tiranké alias Baraka Tigui, l’amazone qui fait notre fierté sur la toile

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Un adage mandingue nous enseigne : si tu tues ton chien d’attaque tu seras mordu un jour par le chien très méchant  d’une autre personne. Un des enseignements que l’on peut tirer de cet adage est qu’il est très important de prendre grand soin des braves personnes qui prennent énormément de risque pour nous.

Les personnes qui montent en première ligne pour éviter que nous ne soyons pas atteints méritent qu’on les chérisse ! Elles méritent notre admiration,  notre respect et notre reconnaissance éternelle.

Baraka Tigui, une compatriote vivant en Europe, fait partie des personnes qui sont en première ligne dans la défense des acquis de la gouvernance du professeur Alpha Condé. Elle n’hésite pas un seul instant à déclarer la guerre à tous ceux qui veulent ternir l’image du Président.

Malgré les  défis et les contraintes liées à la vie en Occident,  cette brave dame se bat au quotidien pour faire triompher la vérité et montrer au monde entier que le professeur Alpha Condé est une chance, une bénédiction pour la Guinée et les Guinéens.

Cette autodidacte polyglotte, elle parle plusieurs langues guinéennes, a réussi à s’imposer dans le monde des blogueurs, jusqu’à en devenir la méga star, grâce à un talent inné et un travail acharné.

Elle commente l’actualité guinéenne avec professionnalisme en compagnie de son fidèle acolyte Grand-Fof de Madrid. Aucun sujet important n’est passé sous silence.

Qu’il s’agisse de détournements de deniers publics, de dissolution de l’Assemblée Nationale, d’ethnocentrisme, d’ethno-stratégie, de fête de notre vaillante armée ou du soutien à notre artiste Soul Bangs brocardé par les militants zélés de l’opposition.

Son credo : servir sa nation avec dignité, respect et détermination.

Dans la vie il ne faut pas avoir peur de qui que ce soit dit-elle.

Au front de la riposte, elle réplique à toutes les attaques  et autres campagnes de dénigrement médiatique dirigées contre la Guinée et son Président.

Elle ne laisse passer aucun sujet qui pourrait ternir l’image de son champion, le professeur Alpha Condé qu’elle appelle affectueusement le Président des Présidents.

Chaque campagne de dénigrement fait l’objet d’un Facebook Live de dénonciation avec des contre-arguments solides dans une démarche pédagogique.

Les détournements de biens publics ulcèrent cette brave dame qui se pose en sentinelle contre la corruption et le détournement de deniers publics.

On doit déclarer la guerre à ces personnes qui veulent détruire la Guinée, s’emporte-t-elle.

Les journalistes qui font preuve de légèreté en  colportant des informations erronées sont également dans la ligne de mire de cette tireuse d’élite qui ne rate jamais sa cible.

C’est le cas par exemple des journalistes d’une émission de grande écoute.

Ces derniers ont diffusé, sans recoupements, des informations erronées sur les évènements de Koumban.

Notre amazone a rappelé à cette occasion le b.a.-ba du journalisme à savoir  le recueil, le traitement et la diffusion de l’information, en insistant sur la déontologie et la nécessité de recouper les informations avant la diffusion.

Une de ses bonnes actions, Dieu sait qu’elles sont nombreuses, a été son implication dans une affaire de corbeaux, mêlant jalousie, méchanceté, calomnie et diffamation.

Les deux sessions de Facebook Live qu’elle a organisées en compagnie de Grand-Fof de Madrid ont permis d’éclairer bien de lanternes.

L’identité du corbeau est désormais un secret de polichinelle.

Abdoulaye KABA

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