Sous la houlette de l’ONG Union des Grands Amis pour le Développement et la Non Violence en Afrique.
Mon adresse à nos chefs d’État africains et très particulièrement le président guinéen son excellence professeur Alpha Condé et celui de la Côte d’Ivoire son excellence Monsieur Alhassane Dramane Ouattara.
Aujourd’hui est une journée internationale de la solidarité, étant la présidente de cette ONG et même temps la présidente de REFA (Réseau Entrepreunarial des Femmes Africaines),je vous félicite très honorifique de vos différentes élections présidentielles à la tête des nouvelles mandatures qui seront les vrais gages et socles de l’union, la paix, la solidarité et très cohéremment le développement tant souhaité et amorcé depuis le début de vos différentes prises de fonctions.
Par conséquent, étant femme et mère de famille, je vous demande très sagement et modestement de libérer les détenus Politiques car, leurs leaders dont ils comptent, ceux-ci n’ont aucune force, aucune capacité, aucun moyen possible de les libérer mêmes les institutions panafricaines et internationales vous donnent raison. Alors, chers présidents vous êtes les seuls humains capables d’être flexibles de faire le choix humain, de jouir de vos humanismes afin qu’ils recouvrent leurs libertés qui sont les sacres de la vie. Tous ces détenus politiques qui ont commis des délits notamment : incitation à la violence, les dégâts matériels, les injures grossières, les attaques verbales et autres… dont reconnus par les populations, je vous demande pardon, Mes chers présidents de la Guinée et de la Côte d’ivoire, je m’incline pieusement aux prestigieuses lois religieuses et devines d’écouter le cri du cœur d’une mère de famille de les libérer, pardon, pardon et encore pardon. Et je ne souhaite plus qu’une goutte de sang d’un guinéen ou ivoirien soit versée ou meurt en prison.
Quant aux jeunes, vous êtes l’avenir de cette Afrique là, les dégâts dont vous commettez sont trop et trop, peut-être dû par l’ignorance ou par incivisme ou manque de conviction. Et les leaders qui vous poussent à toutes sortes de violence ils sont en sécurité et leurs familles, tous les moyens nécessaires or vous vous êtes en prison ayez conscience, Bref, cette adresse à mes chers présidents est particulièrement d’un cri de coeur, je veux qu’elle soit entendue, vous regardez en face de vous et vous ne verrez que vos enfants, s’il vous plaît pardon, pardon.
Je termine sur cette note “En Afrique le pouvoir est plus fort que les lois
Fatoumata Lamarana Barry
ONG Union des Grands Amis pour le Développement et la Non Violence en Afrique
Comments